Show simple item record

dc.rights.licenseCC-BY-NC-ND
dc.contributor.advisorLe Pichon-Vorstman, E.M.M.
dc.contributor.authorMonbredau, F.
dc.date.accessioned2017-09-06T17:02:23Z
dc.date.available2017-09-06T17:02:23Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.urihttps://studenttheses.uu.nl/handle/20.500.12932/27447
dc.description.abstractCe mémoire est une recherche qualitative qui se focalise sur la communication interculturelle pendant trois entretiens d’entrée dans une école secondaire qui accueille des élèves primo-arrivants aux Pays-Bas. J’ai observé le déroulement de la communication entre trois familles primo-arrivantes aux Pays-Bas et le personnel néerlandophone, pendant leur entretien d’entrée et j’ai fait deux interviews dans deux écoles d’accueil secondaires différentes avec des responsables des premiers entretiens. La recherche montre que le déroulement des entretiens d’entrée se passe de manière identique dans les deux écoles différentes. La procédure de l’entretien d’entrée est en deux parties, à savoir un mo-ment pendant lequel le nouvel élève est testé et une conversation avec les parents, la famille ou le tuteur de l’élève, pendant laquelle l’élève est inscrite à l’école. Pour ces écoles, le but de cet entretien est l’inscription du nouvel élève dans le système administratif. Contrairement à la littérature et les conseils de Tuk et Verboom (2013), les observations montrent que les écoles ne donnent pas d’informations sur l’école aux familles pendant les entretiens, malgré les souhaits des familles expri-més par Tuk et Verboom. En ce qui concerne le déroulement de la communication, les observations montrent que plusieurs tactiques sont pratiquées et plusieurs moyens sont utilisés afin d’obtenir une compréhension mutuelle. Pendant les observations, il s’est avéré que la médiation linguistique, à l’aide d’un interprète (officiel ou non—officiel), est un élément important dans la compréhension mutuelle. La médiation est même indispensable quand les interlocuteurs ne trouvent pas de langue en commun. Si les interlocuteurs n’ont aucune langue en commun pour pouvoir communiquer et qu’ils ne peuvent pas faire appel à un médiateur, les observations montrent que le but des entretiens ne peut pas être atteint raisonnablement. Les responsables des entretiens disent avoir un certain nombre de souhaits et besoins pour la technique et l’organisation, plutôt que sur le plan de la com-munication. Alors que d’après les résultats des observations il s’avère que parfois ils ont des besoins communicationnels, par exemple l’intervention d’un interprète quand les interlocuteurs n’ont pas de langue en commun. Cette recherche, limitée en nombre d’observations, montre qu’il est probable que pour une bonne communication, l’entretien doit satisfaire à certaines conditions. À savoir, une langue en commun (même si les participants ont seulement une connaissance élémentaire de cette langue) ou de l’aide d’un interprète. Si on ne peut pas satisfaire à une de ces conditions, la communication ne fonctionne pas adéquatement, même si le responsable a des compétences de communication interculturelle. En l’absence d’un interprète ou de langue en commun, il serait pratique de trouver quelques solutions afin d’optimaliser la communication : un budget plus élevé pour faire intervenir un traducteur ou des aides visuelles par exemple.
dc.description.sponsorshipUtrecht University
dc.format.extent1275264
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofr
dc.titleL’entretien d’entrée dans une école de premier accueil aux Pays-Bas : la communication entre familles primo-arrivantes et écoles lors de la première rencontre.
dc.type.contentMaster Thesis
dc.rights.accessrightsOpen Access
dc.subject.keywordsFamilles primo-arrivantes, école secondaire de premier accueil, entretiens d'entrée, communication interculturelle
dc.subject.courseuuInterculturele communicatie


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record