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dc.rights.licenseCC-BY-NC-ND
dc.contributor.advisorRadar, Dr. E.M.A.F.M.
dc.contributor.authorSnetselaar, R.A.
dc.date.accessioned2012-09-12T17:01:11Z
dc.date.available2012-09-12
dc.date.available2012-09-12T17:01:11Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.urihttps://studenttheses.uu.nl/handle/20.500.12932/11526
dc.description.abstractÀ travers les siècles, plusieurs auteurs ont repris le mythe d’Œdipe pour en faire leur propre version. Parfois ces réécritures sont très fidèles au texte ancien, et parfois elles s’éloignent énormément. Quelle est la limite de la réécriture ? Quand est-ce qu’une réécriture est si altéré qu’elle ne représente plus vraiment le même mythe ancien? Nous avons fait une analyse comparative de l’Œdipe d’André Gide (1930) et La Machine Infernale (1934) de Jean Cocteau pour rechercher comment ils se sont différenciés du mythe original et aussi l’un de l’autre. La question centrale est : quelle est la limite de la réécriture, et est-ce que Gide et Cocteau ont-ils la dépassée dans leurs réécritures du mythe d’Œdipe ?
dc.description.sponsorshipUtrecht University
dc.format.extent670997 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofr
dc.titleŒdipe, né de nouveau au vingtième siècle : Une étude sur la réécriture d’un mythe et ses limites
dc.type.contentBachelor Thesis
dc.rights.accessrightsOpen Access
dc.subject.keywordsréécriture
dc.subject.keywordsmythe
dc.subject.keywordsAndré Gide
dc.subject.keywordsJean Cocteau
dc.subject.keywordsOEdipe
dc.subject.keywordsJocaste
dc.subject.keywordsLa Machine Infernale
dc.subject.keywordspsychanalyse
dc.subject.courseuuFranse taal en cultuur


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